La vie associative reprend et les assemblées générales peuvent enfin se tenir en présentiel. Ceci m’a permis de participer à l’assemblée générale de la fédération de pêche.

Le premier élément qui m’a frappé est le maintien du nombre de cartes de pêche entre 2019 et 2020, d’une vie associative et d’une pratique de loisir.

Les assemblées générales sont aussi l’occasion de voir l’évolution des comptes et dans le cas précis leur évolution est restée positive. Je suis assez réservé quant à l’impact de la crise de la COVID-19 sur la situation de nos associations mais ce premier exemple a été plutôt encourageant.

Au-delà des questions de loisirs, j’ai retrouvé la même évolution que pour la fédération de chasse  à savoir une implication de plus en plus grande dans la gestion des milieux ou de leur protection.

Nous passons d’une vie associative animatrice des activités des uns et des autres à une vie associative parapublique.

J’ai d’une certaine manière retrouvé la même évolution lors d’une autre assemblée générale qui était celle des entreprises de l’intercommunalité Sor Agout avec une attention portée sur les problèmes de lutte en termes de cybersécurité, c’est à dire  une approche centrée plutôt sur les problèmes généraux de la société que sur des sujets plus individuels.