Une maison de santé à Roquecourbe

Jean Marie Fabre, Président de la Communauté de communes Sidobre Vals et Plateaux et Monsieur Pierre Modéran Maire de Roquecourbe ont inauguré la maison de santé de Roquecourbe le 12 décembre , après l’inauguration de celle de Lacrouzette.

Il s’agit d’une maison de santé multi sites.

L’investissement de l’intercommunalité a porté pour  les 2 sites sur 1 821 129, 77 € avec une participation de l’État à hauteur de 738 300 €, du Département à hauteur de 164 996 €, du Conseil Régional pour 130 000 € et des fonds Feder pour 100 000 € dans le cadre du programme LEADER porté par le PETR également présidé par Jean-Marie Fabre.

En tenant compte du FCTVA, l’autofinancement de l’intercommunalité s’élève à 500 000 €.

Les professionnels de santé étaient présents lors de l’inauguration ainsi que les nombreux élus voisins.

L’intercommunalité dispose maintenant de 4 maisons de santé à Brassac, Vabre, Lacrouzette et Roquecourbe, ce qui permet de mailler le territoire avec 6 médecins dont 2 plus jeunes  outre les autres professions de santé afin de constituer un vrai collectif.

Il est intéressant de relever que les communes ont également participé sous forme de fonds de concours à travers l’équivalent de la valeur du terrain, fonds de concours apportés à leur intercommunalité.

Celle-ci a accepté d’aller encore plus loin en préfigurant un centre de santé intercommunal et en se réservant la possibilité de salarier à l’avenir  des médecins s’il s’avérait que le dispositif des maisons de santé n’était pas suffisant pour assurer l’attractivité médicale du territoire.

Notre collègue Jean-Marie Fabre a détaillé l’évolution quantitative et qualitative de la Santé en France avant de nous présenter la vision de son intercommunalité.

Le Président du Conseil Départemental et moi-même avons développé les éléments de confiance que le territoire pouvait avoir à la fois sur ses forces mais aussi sur ses capacités médicales, la cérémonie amicale ayant été clôturée par Monsieur le Sous-préfet qui a insisté sur le projet de santé agréé par l’ARS.